The Prevailing Delusion About On-line Faculty Levels: A Treatise on the Decline of Public Schooling

Webster's Dictionary définit le délire comme une fausse croyance qui persiste malgré les faits et qui concerne le soi, les personnes ou les objets, et l’un des délires les plus répandus et les plus frappants qui ait prévalu à la fin du 20e et au début du 21e siècle est le Croyance extrêmement fallacieuse de hundreds of thousands d’êtres humains de par le monde, en particulier aux États-Unis, que les activités éducatives sur Web through l’web produisent autant d’apprentissage académique pour une personne que l’enseignement traditionnel en classe. Comme depuis des décennies, de nombreux élèves d’écoles publiques adolescentes récalcitrantes n’apprécient guère l’enseignement structuré gratuit qu’ils sont tenus de suivre en classe pendant douze ans afin d’acquérir des compétences de base et un diplôme d’études secondaires. Ces jeunes hommes et femmes égarés représentent environ 67% de tous les élèves des écoles publiques et, dans la plupart des cas, ils ne font que s’asseoir dans une salle de classe, l’esprit distrait ailleurs, au cours de leurs années élémentaire, intermédiaire et secondaire et finissent par atteindre à peine les notes minimales nécessaires pour l'obtention du diplôme d'études secondaires. Le triste fait est que, pour que les écoles publiques américaines conservent une crédibilité illusoire dans l'éducation de la majorité de la jeunesse américaine, environ 70% de ces 67% des élèves des écoles publiques ont leurs notes pragmatiques complétées par d'énormes courbes académiques disproportionnées pour faire croire que la plupart des jeunes américains quittant le lycée à dix-huit ans sont fondamentalement éduqués et prêts à entrer sur le marché du travail ou à fréquenter un collège. Pourtant, ces hommes et ces femmes pratiquement illettrés et peu alphabètes quittent l’école secondaire publique et finissent actuellement, au bout de trois ans ou plus, s’enrôler dans l’armée, fréquentant un collège ou une école de métiers, apprenant un métier, continuant à vivre à la maison de leurs mother and father, ou devenir mendiants dans les rues. Chaque année, des milliers de ces hundreds of thousands de jeunes, âgés de 15 à 18 ans, fuient leur pays d'origine et finissent par passer cinq à dix ans dans la rue, dont beaucoup se tournent vers le crime, avant de se rendre compte du temps et des précieuses ressources gratuites qu’ils ont gaspillées par contrariété et paresse.

Depuis environ 1995, un grand nombre de ces hundreds of thousands de jeunes adultes peu scolarisés, âgés de 18 à 30 ans, ont cherché à contourner le besoin de travailler dur et se sont vu offrir la grande phantasm qu’ils peuvent réaliser avec un ordinateur personnel à la maison pour des milliers de {dollars}, ce qu’ils ont refusé d’accomplir au cours des douze années d’éducation publique gratuite qui leur ont été offertes à l’adolescence. Qu'est-ce que je veux dire par là? Il y a soixante-dix ans, la plupart des diplômés des lycées publics étaient en réalité d'un niveau allant de la onzième à la douzième année et étaient prêts à entrer dans un collège ou une université et à effectuer un travail réel au niveau collégial, ou à entrer dans un métier vendable. Au cours des décennies qui ont suivi 1950, l'éducation des enfants dans les foyers américains (mother and father aidant et encourageant leurs enfants à réussir dans les écoles publiques) est devenue un fardeau plus qu'un fardeau et un privilège et une responsabilité pour les maris et les épouses, qui étaient plus ambitieux que les autres. c'étaient des pères et des mères; les enfants, garçons et filles, de ces hommes et femmes très égoïstes étaient essentiellement laissés seuls à la maison et luttaient seuls contre leurs études, au cours de leurs années formatrices et adolescentes. En conséquence, ce qui constituait jadis de véritables diplômes de lycée conférés à la plupart des diplômés des écoles publiques âgés de dix-huit ans n’est pas meilleur que des certificats attestant seulement 12 années de fréquentation, tandis que les diplômes de premier cycle (AA et AS) deviennent des certifications de remédiation pour le lycée. carence. Ce processus de correction indique simplement que les étudiants ont compensé leur manque de résultats scolaires pendant leurs années de lycée dans des collèges communautaires et des collèges pendant deux années d'études. Il s'ensuit logiquement que les diplômes traditionnels de baccalauréat actuellement conférés aux diplômés du deuxième cycle du secondaire, qui s'inscrivent dans les collèges communautaires et aux collèges, ne sont guère équivalents aux diplômes décernés aux diplômés universitaires dans les années 1950, 1960 et 1970.

Nous arrivons maintenant au cœur de la problématique actuelle, à savoir l'obtention des diplômes de BA, BS, MA, MS et même de doctorat par ces étudiants peu instruits des collèges et universités offrant des programmes complets de programmes en ligne sur Web menant à leur attribution. degrés. Que se passe-t-il lorsque des hommes et des femmes sous-scolarisés, qui terminent leurs études secondaires probablement entre la neuvième et la dixième années, tentent de faire un travail universitaire de niveau universitaire cinq à dix ans après leur sortie des écoles publiques? Rappelons maintenant qu’un pourcentage élevé de ces personnes ont passé du temps dans l’armée américaine à suivre des cours enrôlés par les militaires et enseignées à la huitième année. Ces universités ont appris à ces universités que si elles s’inscrivaient dans des obtiendront des crédits universitaires pour leurs cours militaires et leur "expérience de la vie (peu importe ce que cela signifie)", ce qui donnera lieu à un complete de 120 heures de crédits universitaires nécessaires à l'obtention d'un baccalauréat. En outre, bon nombre de ces adultes âgés de 25 à 35 ans peu scolarisés commencent leurs soi-disant études collégiales en ligne sans aucune étude de rattrapage antérieure.

Alors, avez-vous encore compris le triste résultat de la grande phantasm? Ces hundreds of thousands d'étudiants sous-scolarisés, qui ont adopté l'ère informatique avec angoisse, sont en fait amenés à croire qu'ils peuvent utiliser Web, seul à la maison, pour étudier les livres et les helps de cours fournis par les universités et les collèges en ligne, sans la présence d'un instructeur / professeur, afin d'apprendre l'équivalent de ce qui est enseigné pendant quatre ans d'enseignement en classe dans les universités traditionnelles traditionnelles. Ce que l’on appelait cela dans les années 50, 60 et 70 était un effet de correspondance / enseignement à distance, qui n’était pas approuvé par les commissions d’accréditation régionales comme équivalent à l’enseignement en classe dans les collèges. À l’heure actuelle, 98% de tous les programmes d’enseignement en ligne offerts par la plupart des universités et collèges agréés sur Web ne sont pas interactifs; c'est-à-dire qu'ils ne fournissent pas de visioconférence par téléconférence pour des périodes de cours hebdomadaires désignées où les étudiants individuels sont connectés ensemble pour permettre à chaque élève inscrit au cours particulier de voir ses camarades de classe et l'instructeur / professeur sur un écran d'ordinateur. pendant la période de cours et d’interagir les uns avec les autres pendant le cours. En comparaison avec les frais de scolarité d'un cours de premier cycle en histoire de trois unités en histoire américaine à l'Université du Maryland, qui coûte environ 500 USD, le coût d'un cours interactif en ligne sur Web est d'environ 700 USD et, invariablement, la méthode Socratic ne peut pas être utilisée. efficacement utilisé par l’instructeur lors de cette interplay électronique très coûteuse.

Cependant, la plupart des cours en ligne de premier cycle et des cycles supérieurs ne sont "pas" interactifs, et le seul moyen pour un étudiant de communiquer avec un instructeur ou d’autres camarades de classe au cours du semestre ou du trimestre est par courrier électronique. par la plupart des gens rationnels comme un moyen extrêmement impersonnel et désavantageux de communiquer efficacement. Supposons que l'étudiant de premier cycle peu instruit vit en Caroline du Sud et qu'il soit inscrit à un programme de premier cycle en ligne à l'université du Maryland. L'étudiant dispose de tous les manuels de cours et du matériel d'étude nécessaires pour un semestre et est envoyé par la poste à son domicile. Il est autorisé à effectuer les devoirs prescrits à chaque fois que nécessaire. Il n'y a pas de cours verbaux à moins que l'instructeur les enregistre et permet aux étudiants d'y accéder, ainsi que les autres helps de cours, à l'aide du logiciel "Blackboard". Si tel est le cas, les frais de scolarité pour le cours sont considérablement augmentés. Croyez-le ou non, l'instructeur peut vivre dans un autre État lointain, tel que le Minnesota, et un étudiant peut ne pas être en mesure de contacter l'instructeur par courrier électronique pendant de longues périodes. Ainsi, les étudiants de premier cycle peu scolarisés sont essentiellement laissés seuls pendant la majeure partie du semestre ou du trimestre, pour étudier seuls le matériel de cours et pour passer des exams de questions à choix multiples non corrigés en livre ouvert, pour les grades, lorsque l'honnêteté académique de l'étudiant est pas même interrogé.

Au cours des XIXe et XXe siècles, ce sort d'apprentissage s'appelait l'effet Lincoln, en référence à la manière dont Abraham Lincoln aurait prétendument appris à devenir avocat, et que la plupart des collèges et universités qualifiaient alors de médiocre moyen d'apprendre. étudiant moyen. Lincoln a appris par lui-même en lisant et en étudiant ce qu’il avait besoin de savoir pour réussir ses démarches juridiques. Son succès est dû au fait qu’il était une personne extrêmement intelligente et intuitive, succesful d’apprendre par elle-même, ce que le la grande majorité des diplômés des lycées publics sont incapables de le faire. Même aujourd’hui, un collège ou une université ne donnera "pas" de crédits à une personne pour apprendre de manière autonome et pour connaître et maîtriser les helps de cours de niveau collégial avant de s’inscrire à une université et de payer le cours. Ensuite, même après qu'une personne "très intelligente" paye les frais de scolarité coûteux du cours et que le professeur permette à la personne en devenir de passer l'examen ultimate complet du cours, l'examen est, dans la plupart des cas, pas l'examen ultimate regular passé par les étudiants en classe, mais qui a été rendu inexorablement plus difficile dans le however exprès de veiller à ce que la personne très intelligente ne passe pas une be aware de passage. Cela semble-t-il injuste et cruellement inéquitable? Oui, parce que ça l'est! Le système universitaire actuel est incroyablement injuste envers les très intelligents et les très peu instruits. La réalité surprenante est que presque tous les collèges et universités des États-Unis sont beaucoup plus préoccupés par l’apprentissage avancé en tant qu’activité rentable qui génère de l’argent que par ce qu’elle devrait être, la responsabilité effrayante d’aider des hommes et des femmes intuitifs et intelligemment capables, préparé pour le travail au niveau collégial, pour acquérir les compétences d'apprentissage et de recherche dont ils ont besoin pour réussir à ouvrir de nouvelles frontières des sciences naturelles et physiques, des mathématiques, des sciences humaines et de la littérature. La triste réalité est que des diplômes de baccalauréat et de cycles supérieurs sont décernés chaque année à des hommes et à des femmes sous-scolarisés qui ont suivi des programmes de diplômes en ligne de premier cycle et de cycles supérieurs en ligne et qui ne sont en aucun cas équivalents aux diplômes obtenus grâce au travail en classe sous la supervision étroite. des professeurs et des instructeurs.

L’effet grave et dépréciant de cette grande phantasm, que j’ai essayé d’expliquer dans cet essai, est simplement que ces hommes et ces femmes qui ont obtenu ces pseudo-diplômes en ligne se croient réellement aussi éduqués, intuitifs et intelligents que les autres. les hommes et les femmes qui ont fréquenté les collèges et universités traditionnels pour obtenir leur diplôme de premier cycle et de cycles supérieurs. C'est comme comparer un baccalauréat en ligne en économie de l'Université de Phoenix à un B.A. diplôme en économie obtenu par des études continues en classe à l'Université du Texas à Austin ou dans tout autre institut d'enseignement supérieur reconnu. Les deux degrés sont fondamentalement incomparables. Pourtant, la majorité des Américains du XXIe siècle, âgés de 25 à 40 ans, ont été conditionnés à croire que l'obtention rapide de diplômes universitaires par le biais d'études superficielles et diluées en ligne est tout à fait équivalente au processus laborieux de l'obtention d'un baccalauréat de quatre ans grâce à une fréquentation scolaire proceed, a largement contribué, par sa participation, à la diminution de l'éducation dans la république américaine, à sa relégation au statut de nation du tiers monde. L'Amérique se classe désormais au 38ème rang mondial en matière de réussite scolaire. Pouvez-vous imaginer que, lorsque, de 1945 aux environs de 1970, les États-Unis se sont classés au premier rang parmi toutes les nations en matière d'alphabétisation, de supériorité éducative et de réussite scientifique?

En ce qui concerne l'origine et l'avancement de cette grande phantasm, le lecteur doit une explication. Remark cet état d'esprit progressiste et aberrant sur les fondements de l'apprentissage avancé est-il devenu si prédominant de manière si damaging dans la dernière partie du XXe siècle, ou remark aurait-il pu être largement accepté par les citoyens comme un modèle commonplace d'éducation? s'efforcer à travers les efforts visibles d'un grand homme ou d'une grande femme? Les deux explications précédentes sur la trigger d'événements historiques, d'accident et "le grand homme" n'expliquent guère les événements subtils, invisibles au public, qui se sont déroulés de la fin du XIXe siècle au milieu et à la fin du XXe siècle et qui, travaillant collectivement , ont provoqué un changement systématique délibéré dans la façon dont les Américains sont éduqués. Les explications "accidentelles" et "de grand homme" de l'prevalence de l'histoire n'expliquent pas à peine les tristes événements misérables qui ont affligé les êtres humains depuis le début de l'histoire enregistrée. La troisième explication acceptée, acceptée par les historiens contemporains pour expliquer la triste histoire, la conspiration, est la raison la plus raisonnable et la plus believable pour la survenue d’événements incrémentaux subtils qui se sont collectivement combinés au cours des décennies pour produire un effet tel que la grande phantasm quant à la méthodologie appropriée de la théorie américaine. apprentissage. Lorsqu'un examen approfondi des faits révèle que les hommes et les femmes ont conspiré pendant une longue période pour modifier radicalement la philosophie qui sous-tend les rudiments essentiels de l'éducation publique, ces faits peuvent soit être examinés de près par les médias traditionnels et électroniques et acceptés par le public américain, ou capricieusement réduits par ce même média et cachés du public. Pourquoi un média objectif et indépendant cacherait-il de tels faits calomnieux au public? Un média libre et indépendant ne ferait pas une selected aussi blasphématoire, mais un média acheté et payé par des hommes et des femmes puissants et riches qui ont conspiré ensemble pour provoquer un tel changement de philosophie le ferait si parfaitement.

Comme Thomas Jefferson l'a déclaré en 1805, "je préférerais des journaux sans gouvernement à un gouvernement sans journaux". Ce qu'il voulait dire en réalité, c'était qu'il préférerait que les journaux soient disposés à publier les faits et la vérité en l'absence de gouvernement, plutôt qu'un gouvernement qui ne veut pas permettre aux journaux de dire la vérité sur ce qu'il fait contre les intérêts des gouvernés. Les constitutionnels américains ont travaillé ensemble pour créer un État qui servirait le peuple, et non un État qui serait desservi par un peuple endoctriné par le gouvernement. Ce dernier statut, un État à desservir par le peuple, était fondé sur une philosophie politique appelée "étatisme" hégélien. Un peuple libre d'esprit, tel que la inhabitants américaine originelle qui a ratifié la Structure américaine en 1789, est très préoccupé par la liberté individuelle. Comme l'a résumé succinctement Henry Ward Beecher, "La liberté est le droit de l'âme de respirer". Cela va assez bien avec ce que Thomas Jefferson a déclaré en 1779, pendant la révolution américaine. Il a dit: "J'ai juré sur l'autel de la liberté une hostilité éternelle contre toute tyrannie de l'esprit de l'homme". Le mémorial de Jefferson à Washington, DC, a été salué par ces paroles immortelles. Tous les rédacteurs constitutionnels, qui ont également signé la Déclaration d'indépendance, ont compris que "en tant qu'homme ou femme, pense, ainsi elle est ", et cette notion de la réalité est le moyen par lequel le peuple américain choisit qui il est et ce qu’il est. C'est pourquoi les constitutionnels ont formulé le préambule de la Structure des États-Unis afin d'exprimer son objectif explicite, qui est énoncé dans les onze premiers mots des vingt-trois derniers mots du préambule "pour garantir les bénédictions de la liberté à nous-mêmes et à notre postérité. " Le préambule n’indiquait pas que la structure des États-Unis avait pour objectif "d’instaurer la justice, de prévoir la défense commune et de promouvoir le bien-être général". Non, ces choses-là étaient un moyen de réaliser le however ultime, qui était et est de garantir les bénédictions de la liberté. "Certains pourraient soutenir que la structure de l'Union soviétique avait établi une forme de justice, prévoyant une défense commune du peuple soviétique et promu une forme de bien-être général pour le peuple soviétique, mais le peuple soviétique n’avait pas le droit de décider de son propre destin par sa quête indépendante du bonheur.Non, une dictature communiste ne garantit pas la bénédiction de la liberté à un peuple gouverné, mais plutôt l’inverse, à savoir le contrôle de l’esprit et du corps de la inhabitants. Il est certes étrange que la plupart des politiciens fédéraux et des États ne considèrent pas le préambule de la Structure américaine comme un élément essentiel de la société. la Structure, mais c'est vraiment.

Le "statisme", philosophie fasciste socialiste selon laquelle les peuples d'un État-nation doivent être conditionnés pour servir l'État, a commencé dans les nouveaux États-Unis en tant qu'idéologie sociopolitique pragmatique adoptée par de riches idéologues dans plusieurs États de la Nouvelle-Angleterre situés dans la dernière partie de la le 19ème siècle. Je sais que c’est un lengthy chemin à parcourir en arrière dans l’histoire américaine pour recueillir des faits pertinents et pertinents sur ce qui s’est réellement passé, mais ces faits ont été dûment consignés par les historiens, les journalistes et les Américains ordinaires sous forme de journaux, de journaux intimes, de livres écrits par les écrivains qui ont réellement été témoins de l'établissement de ces faits et les articles de journaux documentant ces faits. Les cinq «W» et un «H» de la recherche historique sont les questions et les enquêtes qui conduisent à une explication convaincante des problèmes. Qui, quoi, où, quand et pourquoi et, bien sûr, remark constituent la base de Des recherches historiques et des réponses sur les raisons et les tristes événements qui se sont produits: il y a eu aux États-Unis des riches et puissants aristocrates qui, depuis le début de la république, n'aimaient pas du tout l'idée d'une cohue commune d'êtres humains , le peuple américain de base, ayant le droit de choisir démocratiquement, par le vote, qui le représenterait devant un congrès bicaméral et légiférant des lois qui affectent et réduisent le pouvoir et la richesse de ces aristocrates. Ces oligarchies idéologiques Les gouvernements fictifs au sein de l’État et les gouvernements fédéraux étaient composés de super-riches qui craignaient la liberté et la liberté comme moyen politique de les rendre moins puissants et moins riches, d'où les efforts collectifs et subreptices de ces ténébreuses oligarchies. de contrôler systématiquement les esprits de la inhabitants afin de préserver leur richesse et leur pouvoir. Ces personnes fortunées, puissantes et pragmatiques, bien que très peu nombreuses, savaient très bien que l'éducation appropriée et l'intuitivité de cette cohue, la grande majorité de la inhabitants américaine, inciteraient un grand nombre d'Américains à rechercher avec perspicacité l'adoption de lois qui renforceraient la capacité du peuple à finalement, par le biais de l'industrie et de l'entrepreneuriat, de concurrencer et éventuellement d'occulter les courtiers aristocratiques qui contrôlent le pouvoir; comme de simples individus autodidactes et intuitifs comme Cyrus McCormick, Eli Whitney, Elias Howe, Thomas Edison et Philo T. Farnsworth, le pauvre garçon de ferme de l’Idaho qui a été inventé par la télévision.

En résumé, les dix dernières années du dix-neuvième siècle ont permis de faire face aux changements subtils et extrêmement préjudiciables apportés à l’éducation publique dans la république américaine. Par exemple, les honorables rédacteurs considéraient que la capacité de lire et de comprendre l’écrit publié était la clé de voûte de la sensibilisation et de la compréhension du public à l’égard des événements actuels dans les gouvernements des États et du gouvernement fédéral afin de garantir un électorat clever et informé. La méthodologie de base pour enseigner la jeunesse américaine a commencé comme la phonétique, qui était considérée par des auteurs tels que Benjamin Franklin, Thomas Jefferson et John Adams comme la méthodologie appropriée pour apprendre à lire aux enfants et aux adultes analphabètes. C'est ainsi qu'ils avaient appris à lire. Franklin, Jefferson et Adams avaient utilisé la phonétique traditionnelle pour enseigner à leurs propres enfants remark lire efficacement. Cette méthodologie a été utilisée efficacement dans les premières écoles publiques établies en Amérique avant et après la La révolution américaine. Les premières écoles publiques établies dans les nouveaux États-Unis d'Amérique étaient sous contrôle native et n'avaient aucun lien avec le gouvernement fédéral ou d'État. Les mother and father des enfants embauchés pour enseigner la lecture dans ces écoles à une pièce étaient destinés aux enfants de tous les âges. La phonétique, apprenant à identifier les mots par leur voyelles et consonnes, était utilisée pour enseigner la lecture.

Pourtant, une autre méthodologie de lecture a été créée vers 1813 par un sure Thomas H. Gallaudet. Gallaudet a créé la méthode "voir-dire" pour apprendre à lire aux sourds-muets, automotive les personnes anormales ne pouvaient pas entendre les sons des lettres de mots et apprenaient par l'utilisation normale de la phonétique. Puis, en 1835, Horace Mann, intellectuel instruit au collège, qui avait lui-même appris à lire le phonétique, a joué un rôle déterminant dans l’amorce de lecture "voir-dire", "Mom's Primer", créée pour être utilisée par toutes les écoles primaires de l’État. Massachusetts; mais en 1843, les mother and father très normaux et raisonnables du Massachusetts ont rejeté la méthode du "voir-dire" et la phonétique a été rétablie en tant que méthode commonplace pour enseigner la lecture à toute lecture primaire normale dans l'État du Massachusetts. Pourtant, Thomas Gallaudet, ses enfants et ses petits-enfants étaient tous diplômés de l’Université de Yale, tout comme Thomas Mann, et appartenaient également à un ordre secret qui existait alors à Yale et qui existe toujours et s’épanouit au XXIe siècle. C'était et est l'ordre secret du crâne et des os. En fait, Horace Mann était le cofondateur de Cranium and Bones, et c’est bien plus qu’une easy réflexion sur les raisons pour lesquelles Mann, qui avait appris à lire à l’aide de la phonétique, se serait bousculé pour obtenir la lecture "voir-dire". méthodologie, conçue à l'origine pour les sourds-muets anormaux, acceptée comme méthode de lecture pour les enfants d'âge primaire. En outre, la fausse propagande diffusée à propos de l’utilisation supposée réussie de la méthode du "voir-dire", d’environ 1853 à 1900, a abouti à l’adoption du "voir-dire" par l’influent Columbia Academics Faculty et la Lincoln Faculty, qui a propulsé la poussée du nouveau système d'éducation inspiré par John Dewey, qui s'éloignait des bases de l'apprentissage pour préparer plutôt l'enfant primaire à être des unités subordonnées dans la société organique au lieu d'individus intelligents et intuitifs capables de lire de manière complète et efficace . "See-say" était idéal pour les partisans de Dewey. Apprendre à lire efficacement étant la clé principale pour libérer la capacité de lecture d'un enfant, le système Dewey a délibérément éviscéré l'étape essentielle du processus d'apprentissage, qui aboutir finalement à produire un électorat informé. See-say "apparaissait également comme un moyen facile d'apprendre à lire, malgré le fait reconnu qu'apprendre à bien lire nécessitait une self-discipline personnelle et un travail ardu.

Par conséquent, je crois sincèrement que la lecture américaine rationnelle et raisonnable de cet essai sera clairement en mesure d’extrapoler de manière convaincante les résultats inexorables et flagrants de l’adoption d’un système de méthodologie de lecture, "see-say", créé pour des "sourds-muets" anormaux, pour utilisation par "tous" des districts scolaires publics de tous les États d’ici à 1920, afin d’enseigner à la lecture les enfants en âge de fréquenter l’école primaire. Ce texte n’a pas été adopté par accident ni par un grand geste du sage homme ou femme, mais plutôt par des moyens conspirateurs sur une longue période Les principales "autorités" de l'éducation de 1900 à 1920, qualifiées de "progressistes" par les journaux, les revues et la radio, ressemblent à Theodore Roosevelt et Woodrow Wilson , constituaient un groupe restreint d'hommes, qui avaient été formés à l'université de Yale et qui étaient membres de Cranium and Bones.Pour une raison ultime de conspiration, la sagesse fondamentale des constitutionnalistes concernant l'adoption et la de la phonétique a été dévalorisée à cette époque et la plupart, soit plus de 70% de l’électorat nationwide, ont été amenés à croire que ce que ces soi-disant hommes du XXe siècle savaient apprendre sur les normes d’apprentissage pédagogique des enfants était fondé sur la vérité. Par conséquent, ce qui existe encore aujourd’hui, une nation d’adultes muets, est le triste résultat d’une conspiration qui a fait son mal en plusieurs décennies et jusqu’à 150 ans. "See-say" est toujours la méthodologie prédominante pour enseigner la lecture dans le système "public-core" approuvé par le gouvernement fédéral. Bien que de nombreuses écoles privées et paroissiales aient continué à enseigner la phonétique aux XXe et XXIe siècles, les diplômés de ces écoles ne représentent qu'une très petite partie, moins de 10% de tous les enfants scolarisés aux États-Unis. La plupart des enfants américains, plus de 90%, sont et resteront des produits des écoles publiques.

En conclusion, la personne raisonnable peut clairement voir la development des normes éducatives inefficaces dans le processus actuel d'éducation de la plupart des enfants américains. Vous avez les écoles élémentaires, qui n'enseignent pas la lecture, l'écriture et l'arithmétique de base pour bien préparer les enfants à leur apprentissage au collège, et les enfants imbéciles qui entrent dans le collège à partir du primaire ne sont pas correctement préparés les trois ou quatre dernières années du lycée. Par conséquent, l’école intermédiaire est en réalité une remise en état de l’école primaire et l’école secondaire, dans la plupart des cas, une remise en état de ce qui aurait dû être appris à l’école intermédiaire. Par conséquent, 98% des adolescents âgés de 17 à 18 ans qui obtiennent un diplôme d'études secondaires ne reçoivent pas réellement de certificat d'obtention du diplôme leur permettant d'achever correctement douze années d'études, mais plutôt de ne fréquenter que douze ans d'expérience en classe. et obtenant un diplôme bien inférieur à un grade de douzième année. La plupart des personnes âgées dans les écoles secondaires publiques travaillent en fait de la neuvième à la dixième année lorsqu'elles marchent sur scène pour obtenir leur diplôme. Nous voici donc de retour au début du laps de temps où hommes et femmes, âgés de 25 à 35 ans et diplômés des écoles publiques, commencent à penser que les diplômes en ligne des collèges et universités sont "vraiment" équivalents aux diplômes gagné par la fréquentation de la classe dans les universités traditionnelles; et que ce qu'ils ne pouvaient pas réaliser dans une salle de classe avec leur niveau de préparation académique pouvait être réalisé en dehors d'une salle de classe, à la maison, devant un écran d'ordinateur. C’est, et restera, la grande phantasm de masse qui est l’ennemi de la supériorité éducative américaine.

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